Mon tonton a versé ses derniers battements de coeur, ce vendredi, aux alentours de vingt trois heures. Ses paupiéres se sont fermées sur les visages des êtres aimés. Elles resteront closes, malgrés les larmes et les cris. Le temps passe sur les blessures, comme pommade sur éraflures, mais jamais la douleur ne passe, cicatrice de sentiments tenaces. Les jours qui suivirent .

Créer un blog avec CanalBlog.

Abonne-toi à mon blog! Poster sur mon blog.

Dans quelques semaines, mon adresse Blogger vous redirigera automatiquement vers mon adresse Wordpress.

Concours de la Nouvelle 2007. Une terre rouge, généreuse. Une terre où tout germe, ou tout croît, ou tout vit. Un corps, effiloché, roulé dans la chute des vagues. Un visage enfoui dans le sable. Je ne sais rien des corps culbutés, tel celui-là, dans les rouleaux de la plage.