La kora de sa corde. Remonte la mémoire du temps. Ceux qui ne meurent pas. Dans le vent qui souffle. Dans les pas sûrs et stables. La kora de sa corde. Où se fonde le monde. Se joue de la patience. Du lion assis sur la fable. La kora de sa corde. Et le poète sur son clavier.

Sur la tige verte, douce. Déploie tes ailes et envole-toi,. Vers les cieux sans enclume. Parcoure les sentiers de la nature,. Ouvre-nous tes ailes colorées,.

Sur Les Rives de Mon Coeur. Sur le chemin de ma vie. Épiant le ciel sous mes paupières mi closes. Mon corps encore assez fébrile se repose. Sur le sable fin mes doigts sans résistance. Dessinent ton village où les chants dansent.

Vivre, rire, aimer, pleurer mais écrire surtout, pour que tout ça ne soit pas vain.

Je vole à travers temps. Se trouver debout face à son âme. Dans le miroir des anges. Si près des ciels chantant. Émergence du sel de nos vies. Le soleil frappe sur mon front. Le vent caresse mes joues. Mes pensées loin du fond.

Feu, chocolat, pelote, courage, croquer, branche, pleurer, folie,. On pouvait en supprimer deux. Le toubib à la gueule de.

Dessiner des coeurs par-ci, par-là. Quand ma plume se fait douce. Le dire de vive voix. Devrait donc aller de soi. Mais le présent du verbe aimer. Sur le bout de ma langue, reste coincé.